LAPPEL ET SON ORIGINE. Il existe deux types d'appel, c'est pourquoi il est important de savoir discerner sa vocation :-L'appel au salut qui passe par la repentance-L'appel au ministĂšre . 2 PIERRE 3:9. HEBREUX 10:36-39 . LA FIDELITE DE DIEU DANS L'APPEL. Selon la Parole, les dons et l'appel de Dieu sont irrĂ©vocables. MARC 16:20. ROMAINS 11:29 JĂ©susChrist Le Christ pantocrator de la mosaĂŻque de la dĂ©isis Ă  la basilique Sainte-Sophie de Constantinople, Ă  Istanbul.: JĂ©sus de Nazareth et Fils de Dieu; Naissance entre 7 et 5 avant l'Ăšre commune BethlĂ©em () : DĂ©cĂšs entre 30 et Toutce qu’il vous demandera sera conforme Ă  sa Parole. 2. Il parle au travers des circonstances. Dieu fait concourir toutes choses pour le bien de ceux qui l’aiment. Soyez attentif aux situations que vous vivez. Dieu veut peut Vay Tiền Nhanh. Vous ĂȘtes ici Comment les gens peuvent-ils savoir si Dieu les appelle vraiment ? Votre question est importante, parce que rien n’est plus essentiel que l’appel de Dieu. Pensez Ă  la majestĂ© et Ă  la grandeur de ce que cela signifie. L’apĂŽtre Pierre fit rĂ©fĂ©rence Ă  cette magnifique vocation dans sa premiĂšre Ă©pĂźtre Vous, au contraire, vous ĂȘtes une race Ă©lue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelĂ©s des tĂ©nĂšbres Ă  son admirable lumiĂšre, vous qui autrefois n’étiez pas un peuple, et qui maintenant ĂȘtes le peuple de Dieu, vous qui n’aviez pas obtenu misĂ©ricorde, et qui maintenant avez obtenu misĂ©ricorde. » 1 Pierre 29-10 La description inspirĂ©e de Pierre au sujet de l’appel chrĂ©tien nous aide Ă  comprendre la majestĂ© du salut de Dieu. Cette grande vocation est rendue possible par le sacrifice de JĂ©sus-Christ pour nos pĂ©chĂ©s et le pardon qu’Il nous a offert gratuitement. L’apĂŽtre Paul souligna les paroles de Pierre en dĂ©crivant l’Église les Ă©lus que Dieu a appelĂ©s du milieu de ce monde comme un Ă©difice, bien coordonnĂ©, s’élevant pour ĂȘtre un temple saint dans le Seigneur. ÉphĂ©siens 220-22 C’est Dieu le PĂšre qui appelle premiĂšrement Ses Ă©lus du milieu de ce monde de tĂ©nĂšbres spirituelles Ă  sa merveilleuse lumiĂšre. Cependant, c’est Dieu le PĂšre qui appelle premiĂšrement Ses Ă©lus du milieu de ce monde de tĂ©nĂšbres spirituelles Ă  Sa merveilleuse lumiĂšre Jean 644 ; Jean 665. L’un des signes qui montre que Dieu vous appelle, est que vous commencez peu Ă  peu Ă  vĂ©ritablement comprendre les Écritures avec une profondeur et une dimension que vous n’aviez jamais connues auparavant. Vous commencez Ă  comprendre les mystĂšres du Royaume de Dieu Matthieu 1310-11. Si Dieu vous appelle, vous allez aussi prendre conscience de la nĂ©cessitĂ© d’un changement dans votre vie personnelle, afin d’ĂȘtre en harmonie avec les normes et les saintes valeurs indiquĂ©es dans les Écritures – marcher d’une maniĂšre digne de la vocation qui vous a Ă©tĂ© adressĂ©e » ÉphĂ©siens 41. La Bible appelle ce processus le repentir ». Luc l’appelait la repentance [
] afin qu’ils aient la vie. » Actes 1118 De toute Ă©vidence, le processus miraculeux de l’appel chrĂ©tien comporte Ă©normĂ©ment de choses que nous ne pouvons pas dĂ©velopper ici. Pour en savoir davantage, demandez notre brochure qui explique de façon plus dĂ©taillĂ©e comment l’acceptation de cet appel conduit finalement au salut et Ă  la vie Ă©ternelle dans le Royaume de Dieu. Cette brochure gratuite, Qu’est-ce que la conversion ? » expose ces concepts de façon beaucoup plus dĂ©taillĂ©e. Le titre du premier chapitre est Qui sont les appelĂ©s, les Ă©lus et les fidĂšles ? » Nous encourageons tous nos lecteurs Ă  demander ou Ă  tĂ©lĂ©charger cette brochure importante. Lettre ouverte aux jeunes, Pastoralia Mai 1996Quand Dieu appelleSouvent des jeunes me demandent "Comment ĂȘtes-vous devenu prĂȘtre ?" Jamais je ne parviens Ă  rĂ©pondre. Ce qui m’étonne beaucoup. Un cardinal qui ne sait pas comment il est devenu prĂȘtre... N’empĂȘche, c’est la vĂ©ritĂ©. Je n’ai jamais Ă©tĂ© moi-mĂȘme Ă  la racine de ma vocation et je ne me suis jamais dit "VoilĂ  ce que je veux faire." Ce qui aurait Ă©tĂ© le cas si j’avais voulu devenir mĂ©decin. L’impression que j’ai, c’est que "cela" m’a habitĂ© Ă  l’improviste, venant de je ne sais oĂč, sans que ce soit toujours de mon goĂ»t. Quand j’étais petit, cela me tracassait et je ne pouvais m’en dĂ©faire. Une vocation fond sur vous, elle s’installe plus ou moins consciemment. Elle vous guette, se prĂ©sente Ă  l’improviste et, parfois, elle vous fait souffrir. Qu’importent les protestations "Pourquoi moi ? Je n’ai pas envie", elle revient coup sur coup. Vous butez contre elle sans pouvoir vous en un virusPour ma part, la vocation m’a frappĂ© comme un virus, sans que je puisse faire quoi que ce soit. C’est la traduction, en langage humain, du fait que Dieu nous cherche et que c’est plus fort que nous. Je suis donc incapable de dire pourquoi ni comment, car c’est lui qui en est l’origine. Il y a dans toute vocation des Ă©lĂ©ments qui font comprendre qu’elle est dans l’air, que Dieu a un projet Ă  notre indicesSi tu ne retrouves pas en toi tous les Ă©lĂ©ments que je vais Ă©voquer, il ne faut pas croire que tu es anormal. Ce sont quelques indices qui m’ont frappĂ©. Je les ai retrouvĂ©s aussi chez d’autres. Avoir une certaine sensibilitĂ© pour des choses qui laissent les autres indiffĂ©rents. Par exemple, un goĂ»t pour la fraĂźcheur des paroles de JĂ©sus. Certaines de ses paroles ne te quittent plus. Tu les rĂ©entends toujours. "Personne n’a un plus grand amour que celui qui donne sa vie pour ses amis." De tels passages, qui ne disent pas grand chose Ă  d’autres, te touchent. Quand tu t’en aperçois, il faut y prĂȘter un penchant pour l’intĂ©rioritĂ©, une tendresse particuliĂšre qui se vit en silence. Il se peut que parfois tu n’en aies pas envie, mais au plus profond de toi, cet appel revient "ArrĂȘte-toi un instant, rĂ©flĂ©chis ! Ne laisse pas passer le temps dans la dispersion." Puis tu te dis "Si je suivais une session biblique ? Si j’allais dans une abbaye ?" SubjuguĂ© par le Christ, tu t’inscris sans ĂȘtre sĂ»r d’y aller. Et finalement, tu y envie de regarder plus longtemps, de rester tranquille, de prĂȘter attention Ă  certaines choses et de donner du temps, par exemple, Ă  une formation. Tu es content d’entendre parler quelqu’un, de lire, d’entendre Ă  la radio ou Ă  la tĂ©lĂ©vision quelque chose de profond. "VoilĂ  ce que je dois Ă©couter", penses-tu. Si cette envie te prend, fais attention, car il se passe quelque en soi un profond sentiment de "compassion" ne pouvoir accepter que des gens soient dans le malheur ou la misĂšre ; les aider, souvent dans le plus grand secret... Tout en Ă©tant mĂȘme un peu honteux Ă  l’idĂ©e qu’on puisse le savoir parce qu’on pourrait te prendre pour un naĂŻf, un inadaptĂ© Ă  ce monde-ci... Cette compassion peut s’étendre Ă  ceux qui sont psychiquement malades, qui ont du mal Ă  rester debout dans la vie, qui perdent l’espoir. Pouvoir les Ă©couter durant des heures, au point que tes amis te disent "Tu perds ton temps ! Il n’y a rien Ă  faire." Avoir une certaine dĂ©licatesse envers les enfants, les petits et les faibles, les handicapĂ©s, envers ceux qui ne peuvent pas suivre et sont exclus. Enfin - et c’est l’élĂ©ment le plus profond - pouvoir compatir avec ceux qui sont ancrĂ©s dans le mal, qui sont esclaves de la drogue, de la sexualitĂ© non contrĂŽlĂ©e ; qui mĂšnent une vie superficielle, parmi les bĂȘtises et l’argent. Alors que les autres les trouvent bĂȘtes et prĂ©disent une issue fatale, tu te dis "Je ne puis manquer de compassion." Si tu as ces trois formes de compassion, avec ceux qui souffrent, avec les "petits" et avec les pĂ©cheurs, elles sont des indices que Dieu a quelque projet sur toi. Etre sensible Ă  ce qui n’intĂ©resse pas la plupart des gens. Par exemple, avoir une admiration pour ceux qui vivent dans la sobriĂ©tĂ© et la pauvretĂ©, pour François d’Assise, pour ceux et celles qui se dĂ©vouent dans le tiers ou le quart monde. LĂ  oĂč tout le monde prĂ©tend qu’il faut avoir de l’argent pour vivre - ce qui n’est pas faux - tu te sens attirĂ© par le fait de n’avoir rien ou peu. Cela ne signifie pas encore que tu vas vivre ainsi, ni que tu en sois capable, mais tu estimes qu’il s’agit lĂ  d’une vie meilleure et plus profonde que beaucoup d’ en va de mĂȘme du fait de ne pas se marier. Tout le monde dit "Cela n’a pas de sens." Toi aussi, tu t’interroges. Et tu te dis "Il y a quelque chose de beau lĂ -dedans." Cela ne signifie pas que tu es capable de vivre le cĂ©libat, mais que tu en perçois le cĂŽtĂ© merveilleux et le charme. Et je remarque qu’il s’agit lĂ  de quelque chose de trĂšs dĂ©licat qu’on peut dĂ©truire une admiration croissante pour des gens qui sont sensibles, dociles, prĂȘts Ă  Ă©couter. Ils disent souvent "oui", lĂ  oĂč on dit d’eux qu’ils sont naĂŻfs. Tu te dis "Je n’en suis peut-ĂȘtre pas capable, mais il a raison." Il se peut que tu trouves en toi cette sensibilitĂ© aux valeurs Ă©vangĂ©liques, qui vont Ă  rebrousse-poil et ne sont pas naturelles la pauvretĂ©, la chastetĂ© et l’obĂ©issance. Tous n’ont pas cette sensibilitĂ©. Si tu l’as, alors un feu s’allume. Tu te dis "OĂč cela va-t-il me mener ?" Car ce n’est pas toi qui as dĂ©posĂ© ces valeurs dans ton en soi l’audace du risque, contrairement Ă  ceux qui veulent ĂȘtre assurĂ©s contre tout et ĂȘtre sĂ»rs de tout avant d’agir. Ils calculent bien, sont raisonnables, intelligents et n’ont que du bon sens... Si tu ne te sens pas Ă  l’aise lĂ -dedans et si tu trouves que, sans risque, la vie est mortelle, un feu s’allume et te permet d’ en soi l’amour de l’Église. J’aime l’Église, en un temps oĂč l’on dit beaucoup de mal d’elle et oĂč, moi-mĂȘme, j’aperçois beaucoup de fautes en elle, des choses dont je souffre et qui font que je deviens dur pour elle, bien que je ne puisse m’en passer. C’est un peu ce qu’on peut ressentir envers ses parents "Ils m’ennuyent avec leurs manies, mais malgrĂ© tout, ce serait trĂšs triste s’ils mouraient." Il arrive qu’on sorte devant sa mĂšre un tas de critiques et que, le jour de son anniversaire, on mette une lettre sur son lit pour lui dire combien on l’aime ! Il en va de mĂȘme de l’Église. Je ne sais vraiment pas si je pourrais vivre sans elle. C’est, pour ainsi dire, un rapport "haine-amour". Quand tu Ă©prouves de tels sentiments, un feu s’allume Ă  que ce que l’on aime tant - la priĂšre, les valeurs Ă©vangĂ©liques qui vont Ă  rebrousse-poil, le risque, la compassion envers les souffrants, les enfants et les pĂ©cheurs - les autres l’aiment aussi. S’attrister quand ils ne ressentent pas un tel amour et donc vouloir le partager. Parfois je suis malheureux parce que les choses que j’admire et pour lesquelles j’ai de la sympathie ne remportent pas la sympathie des autres. Je me sens alors Ă©tranger parmi eux. Au fond, je voudrais que tous soient de pareils Ă©trangers ! Etre triste quand on ne reçoit pas de rĂ©ponse et lorsque tout tombe Ă  l’eau. Quand tu as cette tristesse ridicule, parce que si peu de gens la ressentent, alors un feu s’ admettre facilement ses torts et les avouer spontanĂ©ment. MĂȘme si cela ne se fait pas sans mal, je ne suis tranquille que quand j’ai pu avouer que je ne suis qu’un pauvre petit homme et que j’ai mal fait. Ne pas se ranger parmi ceux qui disent "Je me suis trompĂ©, mais il ne faut pas qu’ils viennent me le dire. Je le sais dĂ©jĂ  tout seul !" Venir Ă  la lumiĂšreVoilĂ  un certain nombre d’élĂ©ments qui ont certainement jouĂ© chez moi. Si tu les retrouves en toi, ils te feront prendre conscience que Dieu te demande peut-ĂȘtre quelque chose et qu’il s’occupe donc un peu plus de toi. Il n’y a pas lĂ  de quoi te vanter, mais de quoi te dire "Puis-je mettre tout cela dans le placard ?" Ou plutĂŽt "Comment m’orienter ?"Si ce n’est pas encore clair pour toi, il ne faut pas tout cacher dans l’armoire, car tu seras malheureux et tu te diras, plus tard Je ne suis pas devenu ce que j’aurais dĂ»." Tu n’en mourras pas pour autant, mais tu garderas un petit nuage dans la tĂȘte qui te dira "Il aurait dĂ» faire beau, mais il y a du brouillard."Je t’ai indiquĂ© comment des feux s’allument. Ils sont comme des Ă©toiles au firmament. Il est important de les tenir Ă  l’Ɠil et de t’orienter Ă  partir de tout cela fait "Tilt"...Supposons que tu ressentes un certain nombre de ces Ă©lĂ©ments et que tu te dises "Je ne les cacherai pas." Que faire alors ?CĂ©der Ă  l’attrait de la priĂšre et du silencePlanifie dans ta vie des moments de rĂ©flexion, de mĂ©ditation, d’oraison ; profite de ce qui t’est offert, mais mets-toi aussi en recherche ; passe un jour dans une abbaye, participe Ă  des sessions bibliques ; arrĂȘte-toi et brise le rythme travail-loisirs-repos. Cet appel ne peut pas mourir dans l’ Ă  l’ÉvangilePrends l’Évangile et lis-en une page ou deux ; ou simplement, ouvre-le et lis ne fĂ»t-ce qu’une ligne ou deux. Tu peux te rendre vulnĂ©rable Ă  la parole de Dieu durant l’eucharistie, Ă  l’église ou n’importe oĂč. Remue une phrase et les sacrements et s’engagerFrĂ©quente l’eucharistie et va confesser tes pĂ©chĂ©s. Ensuite, engage-toi sur le plan social et Ă©vangĂ©lique. Fais plus que la normale, le raisonnable, le convenable. Dis-toi Ă  tout instant "Je veux faire quelque chose de plus, il faut que cela dĂ©borde." L’Évangile parle d’une justice surabondante. JĂ©sus dit "Si tu ne fais pas ce que tout le monde fait, les paĂŻens le font aussi. OĂč se situe alors ce qui t’est propre ?" Au lieu de ne pardonner que les fautes d’inadvertance commises envers toi - une porte restĂ©e ouverte qui t’a coĂ»tĂ© un rhume - pardonne les vraies fautes intentionnelles. JĂ©sus dirait "Fais ce que tous ne font pas." Si tu dis "Je ferais juste ce qu’il faut", alors tu mets ta vocation dans le placard. Rejoindre d’autresRejoins d’autres personnes qui regardent les mĂȘmes Ă©toiles au firmament pour se guider, qui ont une mĂȘme sensibilitĂ©. Si tu restes seul avec ta lampe Ă  huile allumĂ©e, elle va s’éteindre. On a raison de dire qu’un chrĂ©tien qui est seul aujourd’hui est en danger de mort. Que ceux qui ont une vocation, quelle qu’elle soit, se regroupent ; qu’ils se rassemblent pour prier, rĂ©flĂ©chir, lire l’Évangile ensemble, s’encourager mutuellement et vivre l’eucharistie. Nous sommes si isolĂ©s dans le monde dĂšs que nous nous intĂ©ressons Ă  Dieu et Ă  l’Évangile, que, seuls, nous ne pouvons tenir. Heureux ceux qui ont un ami, une amie ou des amis Ă  qui ils peuvent parler de ces Ă  quelqu’unCherche de l’aide chez quelqu’un de plus ĂągĂ© qui peut t’aider. Il ne faut pas nĂ©cessairement que ce soit un prĂȘtre. Ce peut l’ĂȘtre, et peut-ĂȘtre de prĂ©fĂ©rence, non pas parce que le prĂȘtre est plus saint, mais parce qu’il a Ă©tĂ© formĂ© pour aider les autres. Personne n’est juge dans son propre cas. Pour savoir ce que Dieu veut de toi, parle Ă  quelqu’un. Si tu ne parles qu’à toi-mĂȘme, tu seras toujours d’accord avec toi-mĂȘme. Ou bien tu te dĂ©courageras "Je suis seul Ă  me poser les questions et Ă  me donner les rĂ©ponses." Un interlocuteur peut t’aider et te rĂ©pondre de façon plus objective. C’est important et c’est une preuve de portent en eux-mĂȘmes une vocation, mais n’en parlent jamais. C’est que le fruit n’est pas mĂ»r. Une fois qu’on a le courage d’en parler, c’est un signe que le fruit a mĂ»ri la pomme tombe de l’arbre dĂšs qu’elle a pris assez de n’est qu’à partir du moment oĂč une chose a Ă©tĂ© discutĂ©e avec quelqu’un qu’elle est authentique. Il en va de mĂȘme dans l’aveu. Aussi longtemps qu’on pense "Je n’aurais pas dĂ» faire cela, je le regrette", on n’est pas encore parvenu Ă  maturitĂ©. Mais lorsqu’on dit Ă  quelqu’un "Je l’ai fait et je le confesse", alors on se reconnaĂźt coupable et on est mĂ»r. Ne pas parler veut dire "Ce n’est pas encore nĂ©, mĂȘme si c’est vrai." Ce n’est qu’en l’exprimant que cela mouillerSi tu trouves en toi tout ce dont je viens de parler, et si tu en as parlĂ© Ă  quelqu’un, tu ne peux savoir si tu as la vocation que quand tu oses sauter dans le noir "J’entre dans ce mode de vie avec intuition et j’essaie..." Il faut vraiment l’expĂ©rimenter. Tu ne pourras jamais vĂ©rifier une vocation par correspondance !Aller voirQuand JĂ©sus appelle ses premiers disciples, il prend l’initiative "Que cherchez-vous ?" Ils lui rĂ©pondent "MaĂźtre, oĂč habites-tu ? Donne-nous ton adresse." JĂ©sus dit "Venez et voyez !" Mais il ne donne ni adresse, ni explication. Il appelle. Ils allĂšrent et regardĂšrent, dit l’Évangile. Et ils restĂšrent un jour. VoilĂ  la vocation qui t’attend "Viens et vois !" Dix lignes plus loin dans le mĂȘme Évangile, Philippe rencontre NathanaĂ«l et dit "J’ai trouvĂ© JĂ©sus, le fils de Joseph de Nazareth." Il dĂ©cline sa carte d’identitĂ© son nom, celui de son pĂšre, sa que dit NathanaĂ«l ? "Rien de bon ne peut sortir de Nazareth ! Cela n’ira pas." Que fait alors Philippe ? Il reprend la mĂ©thode de JĂ©sus "Viens voir !" NathanaĂ«l va et regarde. JĂ©sus lui dit "Je te voyais assis sous le figuier avant que Philippe ne t’appelle." - "Comment as-tu pu me voir sous le figuier ?" - "Je t’ai vu, dit JĂ©sus, tu es un vrai IsraĂ©lite, tu ne t’en laisses pas conter !" NathanaĂ«l abandonne la partie et dit "Seigneur, tu es le Fils de Dieu, le roi d’IsraĂ«l" Jn 1, 49. C’est la plus grande confession jamais me semble alors que le seul moyen de savoir si tu as une vocation, c'est de venir voir. Le reste n'est que prĂ©paration. Si tu y vas, des feux brilleront. Nombreux sont les textes religieux et les doctrines philosophiques anciennes qui estiment que nos dates et lieux de naissance ne sont pas un hasard, mais le fruit d’un plan depuis longtemps prĂ©parĂ©. La date Ă  laquelle nous naissons n’est donc pas une coĂŻncidence. Choisir de naĂźtre, c’est aussi choisir » le signe auquel on appartiendra. Il n’y a pas de fatalitĂ© bien Ă©videmment, mais celui-ci participera Ă  dĂ©finir ce que nous deviendrons et quelles leçons de vie il nous faudra retenir. S’il y a 12 signes astrologiques, ce n’est pas non plus un hasard. Chacun d’eux reprĂ©sente l’une des Ă©tapes du cycle solaire. Chaque signe astrologique est Ă©galement liĂ© Ă  une constellation et les anges du zodiaque veillent sur tous ceux qui sont nĂ©s sous celle-ci. Selon certaines croyances, les anges du zodiaque peuvent aussi nous aider Ă  comprendre les enjeux du signe sous lequel nous sommes nĂ©s ; quel chemin emprunter et quel but poursuivre. Anges gardiens et archanges Il existe deux types d’anges les anges gardiens et les archanges. Si les anges gardiens sont supposĂ©s n’aider que ceux dont ils ont la charge », les archanges sont lĂ  pour accompagner tout le monde. Ils sont dotĂ©s de qualitĂ©s propres, liĂ©es au signe qu’ils reprĂ©sentent. Nous sommes tous libres de faire appel Ă  un archange et de lui demander de l’aide par exemple par la priĂšre ou la mĂ©ditation. Ils sont partout autour de nous, mais nous devons les solliciter pour qu’ils puissent intervenir et nous aider Ă  avancer. Apprenons-en dĂšs Ă  prĂ©sent un peu plus sur ces 12 archanges et le signe auquel ils appartiennent BĂ©lier l’archange Uriel, le lion ou la lionne de Dieu » L’archange Uriel est donc associĂ© au signe du BĂ©lier. On le dĂ©finit aussi comme l’ange de la nature, directement liĂ© Ă  la guĂ©rison. Ainsi, son rĂŽle est de nous aider Ă  nous reconnecter Ă  la nature sous toutes ses formes physiques et mĂ©taphysiques. Pourquoi prier l’archange Uriel ? Invoquez-le si vous aspirez Ă  travailler dans les mĂ©tiers de l’écologie ou de l’environnement. Invoquez-le aussi si vous souhaitez vous ouvrir Ă  la nature et apprĂ©hender ses secrets. Taureau l’archange Chamuel ou Camael, celui qui voit Dieu » L’archange Chamuel est associĂ© au signe du Taureau. Il aide Ă  restaurer la paix familiale, Ă  trouver un Ă©quilibre dans ses relations humaines. Si vous avez envie de retrouver une paix intĂ©rieure, d’amĂ©liorer vos relations que ce soit au travail ou Ă  la maison, appelez l’archange Chamuel Ă  la rescousse. On dit aussi qu’il est capable de nous aider Ă  retrouver les objets perdus. GĂ©meaux l’archange Zadkiel ou Tsadkiel, la droiture de Dieu » L’archange Zadkiel est donc associĂ© au signe des GĂ©meaux et on parle de lui comme de l’ange du pardon ». Si vous avez du mal Ă  aller de l’avant, Ă  oublier le passĂ© ou Ă  pardonner Ă  quelqu’un, n’hĂ©sitez pas Ă  demander de l’aide Ă  l’archange Zadkiel. Il vous aidera Ă  faire preuve de compassion et Ă  pardonner. Cancer l’archange Gabriel, la puissance de Dieu » L’archange Gabriel est associĂ© au signe du Cancer et il agit comme un transmetteur de la puissance de Dieu ». Vous pouvez vous tourner vers lui si vous avez du mal Ă  trouver les mots justes, dans le but de transmettre un message important. L’archange Gabriel est Ă©galement d’une aide prĂ©cieuse afin de rester liĂ© Ă  l’enfant qui se trouve en chacun de nous et donc, afin d’amĂ©liorer nos compĂ©tences parentales. Lion l’archange Raziel, le secret de Dieu » L’archange Raziel est associĂ© au signe du Lion. Il a un rĂŽle rĂ©vĂ©lateur, celui de vous ouvrir la voie vers les mystĂšres divins » et la connaissance de votre propre Ăąme. Il est un puits de savoir et une aide prĂ©cieuse lorsque l’on doute de ses objectifs de vie ou du chemin Ă  emprunter. Vous pourrez Ă©ventuellement sentir sa prĂ©sence dans ces petits Ă©vĂ©nements quotidiens qui semblent banals et qui, en fait, vous montrent le chemin Ă  suivre. Si vous faites frĂ©quemment le mĂȘme rĂȘve, avez des sensations de dĂ©jĂ -vu ou des pensĂ©es qui vous assaillent, il pourra vous aider Ă  en dĂ©chiffrer la signification profonde. Vierge l’archange MĂ©tatron, celui qui occupe le trĂŽne Ă  cĂŽtĂ© de celui de Dieu » L’archange MĂ©tatron est associĂ© au signe de la Vierge. MĂ©tatron accompagne les ĂȘtres sur la voie de la guĂ©rison. Il les aide Ă  se remplir d’énergies positives et Ă  se dĂ©barrasser des Ă©nergies nĂ©gatives. Il peut Ă©galement ĂȘtre une sorte de guide pour tous ceux qui souhaitent s’ouvrir Ă  la vie spirituelle, sans vraiment savoir comment s’y prendre. MĂ©tatron vous aidera Ă  comprendre les mystĂšres de l’univers et Ă  trouver le chemin de la vie spirituelle. Balance l’archange Jophiel, la beautĂ© de Dieu » L’archange Jophiel est donc associĂ© au signe de la Balance. On le qualifie aussi et assez Ă©tonnamment d’ange feng shui ». Il vous aidera Ă  mettre de la beautĂ© dans votre vie, votre monde et votre esprit. Si vous vous sentez assailli par vos pensĂ©es, l’archange Jophiel pourra vous aider Ă  faire le vide dans votre tĂȘte et Ă  y voir plus clair. Scorpion l’archange JĂ©rĂ©miel, la misĂ©ricorde de Dieu » L’archange JĂ©rĂ©miel est associĂ© au signe du Scorpion et on le qualifie couramment de misĂ©ricorde de Dieu ». Il aide les ĂȘtres Ă  voir leur existence selon une nouvelle perspective. Bref, il ouvre le chemin vers l’aube des leçons qu’il nous faut apprendre. Si vous avez besoin d’ĂȘtre guidĂ© au fil de ces leçons que la vie a mis sur votre chemin ; si vous avez besoin d’aide afin d’évaluer votre Ă©volution, n’hĂ©sitez pas Ă  Ă©voquer l’archange JĂ©rĂ©miel. Sagittaire l’archange Raguel, l’ami de Dieu » L’archange Raguel est associĂ© au signe du Sagittaire et son rĂŽle consiste Ă  amener paix et harmonie autour de nous. Si vous faites face Ă  des problĂšmes de communication ou Ă  des dĂ©saccords au sein de vos relations, vous pouvez demander Ă  l’archange Raguel de vous accompagner dans le rĂšglement de ce type de problĂšme. Capricorne l’archange Azrael, celui Ă  qui Dieu vient en aide » L’archange Azrael est associĂ© au signe du Capricorne, on le surnomme aussi l’ange de la mort ». Son rĂŽle est celui d’un passeur, il nous aide Ă  traverser la mort et console nos proches en les accompagnant tout au long de leur deuil. Si vous avez perdu quelqu’un, perdu un amour, vous pouvez solliciter l’aide d’Azrael afin de guĂ©rir et d’avancer. Verseau l’archange Uriel, la lumiĂšre de Dieu » L’archange Uriel est associĂ© au signe du Verseau et on le nomme aussi l’ange de l’intellect ». Il nous offre crĂ©ativitĂ©, clairvoyance et rĂ©vĂ©lations. Si vous ĂȘtes Ă  la recherche d’une solution ou d’une aide afin de prendre une dĂ©cision, n’hĂ©sitez pas Ă  invoquer l’archange Uriel. Poissons l’archange Sandalphon, le frĂšre » L’archange Sandalphon est donc associĂ© au signe des Poissons et il joue le rĂŽle suivant il est un messager auprĂšs de Dieu. Si jamais vous invoquez Sandalphon pour recevoir son aide, soyez trĂšs attentif aux mots qui vous viendront en tĂȘte que ce soit sous forme de poĂšmes, de chansons ou autres, ils pourraient ĂȘtre un message ou mĂȘme une rĂ©ponse Ă  vos priĂšres.

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